RP dayo 3

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New York,
18 Novembre 1929
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[06 : 38] heure locale
driiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing

[Dayo]L'heure du réveil, j'ai mal dormi purée ! ... Une nouvelle journée commence avec son lot d'emmerdes ...
-Dayo- Raaah ... mes pantoufles elles sont où ? ...
L'Organisation est débordée ces temps ci, les mafiosis mettent un boxon pas possible dans la ville et ca commence vraiment à m'échauffer les oreilles ...

[07 : 12]
Tout en feuilletant son journal, Dayo buvait son café, ... comme toujours ...
Et va donc ... l'entrepos des Fratelli maintenant ... faut faire quelque chose ...
Prenant à peine le temps de terminer son café il déposa le journal et se leva d'un pied décidé ...

[07 : 39]
La voiture de Dayo se gara dans l'arrière cour d'un bar près de Central Park.
Il frappa trois coups, la porte s'entrouvrit ... et sans un geste de plus ...
-Dayo- Convoquez moi tout le monde je les veux tous ce soir ici ...
La porte se referma et il reprit sa voiture...

[22 : 57]
Pourvu qu'ils soient tous là ...
Dayo ouvrit la porte de la salle. C'était une salle sombre, éclairée d'une seule lampe pendant du plafond et découvrant un grand billard en acajou.
Des visages sombres se distinguaient autour du billard, assis dans des fauteuils ...
-Casac- Bonjour patron ...
-Dayo- Salut à tous ... j'vous ai convoqué ce soir au sujet des mafiosis. Comme vous l'avez tous vu, ces derniers temps on entends parler d'eux un peu ... beaucoup ! Et je serais d'avis de leur rendre une petite visite ... New York nous a toujours appartenu et c'est pas aujourd'hui que ca changera ...
Soyons bref, rendez vous ici demain même heure ... avec deux trois accessoirs ...



Le lendemain soir l'ONC était a nouveau réunie dans la pièce, ... Dayo un cigare au lèvre ordonnant ses plans ...

[05 : 44]
Casac et Dayo longeaient une usine, leur pas résonnait dans la rue sombre et froide, une légère pluie s'abattant sur leurs épaules ...
-Casac- C'est ici patron ...
Une vaste cour était devant eux, un camion y était garé contre un quai ...
Ils dégainèrent tous deux leur Thompson et atteignirent une porte dans un coin sombre de la cour.
C'est le moment de véritée ... prions pour qu'il n'y ait pas de faux pas ...
-Dayo- Je vais ouvrir, tu me couvre la gauche ...
Aussitôt dit aussitôt fait, les deux hommes plongèrent dans l'antre Mafioso d'un pied ferme !
[...]
Après avoir fait le tour de l'usine, les deux mafieux ne virent personne ...
Quand soudain une lumière éclairât la pièce par une fenêtre donnant sur la cour ...
-Dayo- Vite sur le toit !

Le matin pointait déjà à l'horizon, et sur le rebord du toit se tenaient debout Dayo et Casac surplombant la cour.
D'une cadillac rouge sortit quatre hommes en gabardine, un chapeau sur le crâne.
-Dayo- Bien le bonsoir amis !!
Les hommes se figèrent, surpris, et relevant les yeux ils virent les deux hommes pointant leur arme sur eux.
Mais ... je le reconnais
-Dayo- Tiens, mais c'est notre ami Urameshi et ses morpions !!
-Urameshi- Qu'est ce que tu fous là Dayo t'a rien à faire ici ! T'es pas chez toi !
-Dayo- Je venait trouver ton boss, mais il a fallut que je tombe sur toi ...
Dayo se retournant vers Casac lui demandant discrètement une grenade, les quatre hommes se dispersèrent en un coup de vent !!
-Casac- Bordel !!!!
En un demi tour ils dévalèrent l'escalier qu'ils avaient pris pour monter et arrivant dans la rue, celle ci était deserte ...
On s'est fait avoir comme des bleu putin ...
-Casac- Là-bas au coin de la rue !!
Les deux hommes s'élancèrent en direction d'un des fugitifs, ils courraient comme deux diables et arrivèrent au coin de la rue.
Dayo riait en lui ...
Un satané cul de sac haha !!
L'homme se débattait tant bien que mal pour attraper une echelle de secours pendue contre l'immeuble voisin ...
-Dayo- Retourne toi gentiment et montre nous tes mimines ...
-Urameshi- Tu m'emmerde Dayo !! Tu comprends ca ? Et tu m'aura jamais !!
Urameshi soulevant sa gabardine dégaina un revolver de sa ceinture, des balles sifflèrent dans la ruelle fraichement éclairée par les premiers rayons de soleil...
Le regard brillant, un sourir sur ses lèvres, Urameshi posa un genoux à terre, puis un second, et s'ecroulla ...
Passe le bonjour pour moi aux Enfers ...
Ils se tenaient tous deux à l'entrée de la ruelle, leur arme fumant doucement, ...
Dayo sortant un cigare de son costume, l'attrapant entre les dents, demanda du feu à Casac qu'il lui donna ...
-Dayo- Allez ... Ramène moi l'essence et nettoie moi ça ...
[RP by Borgz]